Communion et … union ne signifient pas la même chose et ne viennent pas du même mot et c’est pourquoi il y a deux m dans communion. Eh oui…Un voyage étymologique permet de rectifier une idée fausse. Fausse et même dangereuse car elle inciterait à quelque chose d’inutile, voire de nuisible au nom d’un faux idéal qui pourrait culminer en emprise sectaire ou fondamentalisme (ne suivre qu’une seule ligne). Le terme communion décrit un mouvement d’apports mutuels différents, de mise en commun, puis de partage.
A chaque messe, depuis des siècles des chrétiens mentionnent Melchisédech à la messe et nous sommes ainsi habitués à considérer que Dieu se plaît à ces sacrifices, que nous avons donc besoin de lui en présenter, en tâchant de ressembler à Abel, Abraham et Melchisedek.
Nous réfléchissons pour notre aujourd’hui à la notion du sacrifice et à la place du prêtre en nous occupant plus spécialement de la figure de Melchisedek.
Qui était-il lors de sa rencontre avec Abraham ? Comment est-il transformé dans un court passage de psaume ? Dans l’Epitre aux Hébreux : attention aux contresens ! Cette épitre explique que Jésus a accompli « le sacrifice » une fois pour toutes et qu’on n’a plus besoin de le refaire, et donc qu’il est inutile et impossible qu’il y ait des prêtres parmi les chrétiens comme il y en avait pour le peuple hébreu.
Ensuite, nous reviendrons à l’Evangile : pour Jésus, Melchisedek est-il un exemple ? Au Moyen-Age, par exemple, qu’a-t-on fait de cette figure pittoresque ?
De nos jours, en ces temps de guerres, quelles leçons, valables pour tous, croyants et non-croyants, pouvons-nous en tirer ? Et sur un plan très général, comment tirer d’un texte traditionnel, de l’utile de ce qui nous semble périmé car ancien, ou du vivant de qui nous semble intouchable car sacro-saint ?
Démocratie en Eglise ? un sujet presque tabou aujourd’hui ou au moins iconoclaste. Pourtant ce fut un principe fondamental, allant de soi, aux premiers temps de l’Eglise. Cet article fait le point historiquement, factuellement, sur une pratique de l’Eglise bien oubliée, effacée par une Tradition plus récente : la pratique enseignée par Jésus, celle où plusieurs réunis en son nom décident de ce qui les concerne, pratique des premiers temps chrétiens jusque vers le XIIIème siècle, effacée ensuite par une papauté soucieuse de son « pouvoir » inscrit comme quasiment divin et du pouvoir de ses relais, les clercs. Cette pratique se faisait au nom d’un principe abrégé par commodité en « QOT » …
La différence entre Sacré et Saint nous permet de nous orienter dans nos priorités, à la lumière de l’Evangile. Une explication simple et éclairante de Mgr. Albert Rouet
1970 IPES 1973 CAPES de lettres classiques 1974 DEUG Art et archéologie 1975 Deux enfants, mise en disponibilité de l’Education nationale 1973 Maîtrise de lettres modernes : « Le thème du jour et de la nuit dans Le Voyage au bout de la Nuit de Louis Ferdinand Céline » 1980-06-06 : Doctorat de troisième cycle à Besançon, en Langues et … Continuer la lecture de Quelques informations sur mon parcours joyeusement entrecroisé !
Le sens étymologique et l’histoire de des mots « liturgie » et « clerc » sont nourrissants pour notre aujourd’hui, car ils éclairent les textes théoriques fondant la liturgie. Ce qui a tout son intérêt dans la recherche sur la « synodalité » et dans la perspective du Synode convoqué par le Pape François en 2022.
«Pour l’Église de demain… des modes nouveaux». Relisez «la Lettre de mission du Cardinal Marty confiée au père Xavier de Chalendar,
premier responsable du Centre pastoral Halles-Beaubourg (CPHB)».
Devenu le Centre Pastoral Saint-Merry, son existence et ses missions sont aujourd’hui menacées.
«Pour l’Église de demain… des modes nouveaux». Relisez «la Lettre de mission du Cardinal Marty confiée au père Xavier de Chalendar,
premier responsable du Centre pastoral Halles-Beaubourg (CPHB)».
Devenu le Centre Pastoral Saint-Merry, son existence et ses missions sont aujourd’hui menacées.
Pour sortir des abus dans l’Eglise au Chili, le pape François propose un chemin dans sa « Lettre de François aux catholiques chiliens » . Mais il prend soin d’indiquer que ce chemin devrait être celui de tous pour remédier à toutes sortes d’abus… Nous pouvons donc lire cette lettre, et en tirer du fruit pour nous-même aussi.