Par Filjak.
Au commencement (dans le monde ancien), je souhaitais faire partager mon enthousiasme pour un petit trésor anglais de seize vers, une pièce de Lord Tennyson sur John Milton à la manière d’Alcée de Mytilène, un poète grec de l’Antiquité. Et, de fil en aiguille, de phone à phone, en passant par quelques mots en al ou en ique, cette page a touché à la mer, à la mort, à l’exil, pour retrouver, surprise ! la tendance très humaine à faire le beau à partir d’un massacre. À tout saigneur, tout honneur : l’ombre d’Achille a précédé Alcée dans la carrière… et Tennyson l’a suivi ; ce Milton alcaïque est aussi le tombeau des rêves.
Merci à webdame Marguerite d’avoir bien voulu l’accueillir, expériences vocales comprises, dans ses Mondes.