« Norme religieuse et questions d’autorité dans le monde grec » , cours de ​Vinciane Pirenne-Delforge. 

Cours donné en 2022 au Collège de France. 

Séminaire en parallèle ce mardi 8 février à 14h30 : deux premières interventions 

Josine Blok (Université d’Utrecht) sur What has citizenship to do with the gods? Reflections on the religious foundations of ancient Greek citizenship 

Summary :

Citizenship has two components: membership of the group of citizens (the citizen body) and the rights, duties, and obligations the citizens have towards the community and the state. Each of these components, as well as the connection between them, is shaped by formal rules (laws) and informal conventions and values. In classical Greece membership of the citizen body formally depended on descent, while the community as such consisted in their shared heritage (ta patroia), the total of their material and immaterial goods, founded on the common cult of the gods. In classical Athens, this communal religious foundation was called ta hiera kai ta hosia, all the gifts to the gods and all obligations of humans towards each other and towards the gods that were pleasing to the gods.

In my contribution to the séminaire I will clarify this element of Greek citizenship in more detail and discuss some of the critical responses by colleagues to my viewpoints.

Christophe Pébarthe (Université de Bordeaux) sur La naissance de la politique. Autorité humaine et ordre divin dans les poèmes homériques et hésiodiques 

Résumé :

Des études classiques ont expliqué la naissance de la polis en mettant en avant le logos et le meson. Le discours, tenu en public, marquerait l’avènement d’un monde nouveau dans lequel la persuasion aurait remplacé la force. Désormais, l’efficace de la parole supposerait l’approbation du groupe social et ne nécessiterait pas l’intervention des divinités. D’autres travaux ont préféré évoquer, sans véritablement l’expliquer, l’extension d’un domaine soumis, non plus au cours naturel des choses, mais aux actions humaines. D’autres encore envisagent des individus s’agrégeant progressivement jusqu’à former une communauté civique ou bien des transformations des conditions matérielles. Toutes ces explications ont en commun de n’accorder aucune place au monde divin, comme si celui-ci occupait dans les conceptions grecques la même position par rapport au monde humain que dans certaines conceptions contemporaines, pris dans la logique du couple immanence/transcendance.

Pourtant, comme le rappelait naguère Jean-Pierre Vernant dans sa Leçon inaugurale au Collège de France, « l’insertion du religieux dans la vie sociale, à ses divers étages, ses liens avec l’individu, sa vie, sa survie ne prêtent pas à une délimitation précise du domaine de la religion ». La lecture des poèmes homériques et hésiodiques confirme l’existence d’une tout autre articulation entre les univers divin et mortel. Elle invite à comprendre les transformations du monde grec archaïque autrement. C’est en pensant conjointement les êtres humains et les divinités, à partir d’une même grille de lecture, qu’il a été possible aux poètes de rendre compte de l’émergence d’une sphère dans laquelle l’ordre divin ne fondait pas l’autorité humaine. Celle-ci pouvait dès lors être le produit d’une activité collective – ou travail social –, la politique.

La séance qui dure 1 h se tiendra au Collège de France, 11, place Marcelin Berthelot, en salle 2.

Les cours et séminaires sont gratuits, en accès libre, sans inscription préalable.

Le fantastique et le mythique dans l’Antiquité grecque. Autour d’Apollon et de Python

par Marguerite Champeaux-Rousselot

En attendant de pouvoir mettre la conférence ou l’article sur le site ou ailleurs, voici l’annonce de sa publication chez Garnier .

https://classiques-garnier.com/frontieres-et-limites-de-la-litterature-fantastique-le-fantastique-et-le-mythique-dans-l-antiquite-grecque.html

Si vous souhaitez me demander quelque chose, merci de m’écrire par le site.

Le fantastique et le mythique dans l’Antiquité grecque
Autour d’Apollon et de Python
, par Marguerite Champeaux-Rousselot

  • Type de publication: Article de collectif
  • Collectif: Frontières et limites de la littérature fantastique
  • Auteur: Champeaux-Rousselot (Marguerite)
  • Résumé: Notre Fantastique d’incertitude est presque absent des récits grecs antiques concernant du surnaturel. Une fois que la ferveur des croyants et leur utilité sociale les avaient validés, croyants et incroyants en constataient des versions différentes, dues au fait, reconnu, que les auteurs tentaient d’y traduire du divin en utilisant leur phantastikè (capacité de mettre en image). Le mûthos s’avère avoir été le point de jonction d’une vérité entre réel naturel, réel surnaturel et réel imaginé.
  • Pages: 85 à 113
  • Collection: Rencontres, n° 441
  • Série: Études dix-neuviémistes, n° 47

L’exemple est pris à partir d’Apollon et Python à Delphes , un sujet que je connais bien car évoqué longuement dans ma thèse sur Castalie

http://www.theses.fr/2013EPHE5006

Voici la première page :

2021-07-12 Le portique des Athéniens à Delphes révèle-t-il un programme athénio-delphien ? Devons-nous réviser certaines de nos conceptions ?

Un article par Anne Jacquemin et Didier Laroche, récemment  publié sur internet , à propos du  Portique des Athéniens à Delphes[1],  donne des éléments archéologiques concernant la datation et son objectif.  

Cette lecture nous a incitée à quelques réflexions  d’ordre moins matériel que nous partageons en toute simplicité : nous reprenons les éléments factuels donnés dans l’article, comme points de départ d’un questionnement plus ample.

Les indices  listés par les auteurs concluent en définissant une fourchette chronologique  de 510-490. Or il n’ pas été bâti   à la suite aux guerres médiques: après Marathon, les Athéniens ont offert la base et le trésor voisin, plus tard le monument érigé à l’instigation de Cimon dans la partie méridionale du sanctuaire ( SD  110). Ce n’est pas pour la bataille de Platées : ils ont consacré les boucliers pris aux Perses et aux Thébains sur l’entablement du temple. .Ce n’est pas non plus, enfin, pour l’Eurymédon : ils ont dressé une statue d’Athéna sur un palmier en bronze près du temple.)

C’est probablement  après la grande victoire navale  sur Égine vers 491 (Hdt. 6.88-92) qu’il a été  édifié, et ce sont sans doute les témoignages directs de cette dernière victoire qu’il contenait. On note d’ailleurs que  c’est le prototype d’une nouvelle espèce architecturale : ce qui confirme cet objectif. Par la suite, ce système de « portique » se diffusa largement, pour répondre aux mêmes besoins ailleurs.

Les auteurs font remarquer que ce portique des Athéniens   a été bâti sur l’espace de rassemblement principal des Delphiens, en prenant même sur lui.

Or les Athéniens s’étaient déjà engagés à doter le sanctuaire panhellénique d’un temple monumental en partie en marbre. Il était superflu qu’il vienne le compléter d’une façon aussi spectaculaire: il avait  donc un autre objectif.

Il venait compléter le temple à valeur spirituelle (et médiatique) par un bâtiment à visée ouvertement plus politique et médiatique.

Ce complément avait visiblement pour objectif de permettre  à la cité d’Athènes de disposer d’un lieu panhellénique de démonstration de sa puissance nouvelle sur terre et sur mer à travers des éléments directs et indirects. On peut parler d’un programme  architectural  portant un programme religieux et politique, ou politique et religieux.

Que ce programme ait été conçu et réalisé montre l’étroitesse des liens existant en 491 environ entre Delphes et Athènes, le prix  ( dans tous les sens du terme)  qu’Athènes accordait à figurer à Delphes, et  la place ( dans tous les sens du terme ) que les Delphiens lui firent.  

Cela  incite à se poser diverses questions liées entre elles : nous en citons de façon non limitative.

Si ces liens Delphes-Athènes  n’étaient pas exclusifs mais à proportion de la puissance,  qu’en était-il   à Delphes de la place  matérielle et spirituelle faite aux cités hostiles à Athènes ? Cela ne modifie-t-il pas la conception que nous avons de la religion grecque, de ses sanctuaires, de leurs liens avec la société ?

L’ambitieux  et coûteux programme athénien devait être «  rentable » pour Athènes. IL avait été certainement établi après mûre réflexion.  Il ne peut s’être limité à bâtir à Delphes. Il a certainement été décliné dans divers domaines : arts, littérature ancienne revisitée, prières et cultes modifié, réécritures de mythes, orientés tous  pour y inscrire Athènes et sa puissance.

           Ces liens ne fonctionnaient-ils que dans ce sens, Athènes édifiant à Delphes les signes de son pouvoir politique   ?  ou le pouvoir spirituel de Delphes  avait-il sa contrepartie dans le culte et les édifices à Athènes ?  Peut-on penser que la « place » d’Apollon à Athènes augmenta  de façon quasi-volontariste ? Et inversement que la place d’Athéna à Delphes augmenta également ? Cela ne se traduisit-il pas positivement en monuments, en symboliques communes,  comme résultant d’influences réciproques ou de bijections plus ou moins contraintes, mais aussi en essayant également de diminuer la  renommée d’autres lieux qui se revendiquaient comme apolliniens  (Délos  en particulier) ?  Ceci pouvait se faire hostilement en tentant de les éliminer, de façon ambiguë en les absorbant ou en s’y installant côte à côte, ou amicalement en s’y reliant..  Il nous semble que si nous observions ce qui se passe à Athènes d’un œil aiguisé par cette question, on trouverait des éléments qui en augmenteraient l’intérêt. 

Ce renforcement mutuel entre  Athènes et Delphes est-il concerté  ou non ? A-t-on affaire à un programme athénio-delphien ou  à une évolution naturelle faite des  choix individuels  d’une société vivante ?  

           Devons-nous considérer  que, Athènes étant  la plus « riche », son influence a tenté  ou non d’être quasi-monopolistique ou totalitaire ? Ne doit-on pas faire une place beaucoup plus grande aux intentions des « auteurs » ( cela comprend les artistes en tous genres) dans les textes qui nous sont parvenus , et en particuliers  dans les variantes des mythes ? Cela ne change-t-il pas de façon radicale notre définition du terme « mythe » appliqué indistinctement à la Grèce  de toutes les époques ?  Arriverait-on enfin à étudier des textes anonymes comme s’ils étaient d’un auteur connu contemporain ?      

Autre question : Athènes étant alors plus riche, plus célèbre, plus dynamique, plus productive, nous devons nous poser la question de savoir si  les témoignages qui nous sont parvenus de l’Antiquité sont  déséquilibrés. Il en va de même  pour toutes les civilisations  et les cultures passées et même contemporaines, ce qui fait que  mémoriellement les pauvres « n’existent »  pas ou presque pas, même de leur vivant.

Ce type  de question se pose de façon  bien plus argumentée depuis que l’archéologie (efficace, il faut bien le reconnaître, en gros, depuis moins de cent ans pour les périodes antérieures à  la période hellénistique)  peut atteindre finement les couches  antérieures spatio-temporelles tant dans le sol  et la matière des traces et  objets subsistants  que  dans le fond et la forme des objets humains que sont les textes et les artefacts.  On s’aperçoit ainsi – parfois avec incrédulité d’abord –  qu’il y avait un autre monde avant  l’Apollon du V° siècle, d’autres dieux, d’autres Apollon ailleurs et  plus anciens… Bref que notre vision   de la Grèce passait – je ne mentionne pas les problèmes de réception et transmission  – par la vision humaniste,  héritière simplificatrice de la vision romaine, qui reprenait  à sa façon la  vision quasi-totalitaire de l’âge d’or d’Athènes.

Bonnes réflexions…

Marguerite Champeaux-Rousselot

Post-doctorante EPHE,

CRATA.  

MCR=


[1] Le Portique des Athéniens revisité, par Anne Jacquemin et Didier Laroche, 2019, in From Hippias to Kallias . 

https://www.academia.edu/49768271/LE_PORTIQUE_DES_ATH%C3%89NIENS_REVISIT%C3%89?email_work_card=title

Plan de la thèse de Marguerite Champeaux-Rousselot sur Castalie ( 2013)

Pour aller voir le plan de la thèse sur internet :https://www.academia.edu/31729787/Plan_de_la_th%C3%A8se_Castalie.:

pdf

Résumé de la thèse sur mon site, jury, direction…

Si vous souhaitez des renseignements plus précis sur tel ou tel point, je serai contente de vous répondre : écrivez-moi par le site.
Depuis la soutenance, j’ai avancé dans la recherche et lorsqu’il y avait plusieurs hypothèses à envisagées, elles se réduisent en nombre ou celles qui restent se renforcent d’autres éléments ou se réduisent à une seule qui parfois devient une certitude.

Continuer la lecture de Plan de la thèse de Marguerite Champeaux-Rousselot sur Castalie ( 2013)

Conférence « Du laurier au mythe de Daphné »

Conférence (suite) sur Zoom le jeudi 20 mai à 14 h, par Marguerite Champeaux-Rousselot

Inscription gratuite ( voir plus bas) Conférence organisée par l’Université Populaire de Poissy.  

Session 2 ; Grèce du V° siècle av. J.-C. jusqu’à l’époque romaine.

Thème : comment le laurier devint en Grèce la plante d’Apollon.  Peut-on parler de sacralisation ?

Une branche de laurier, une couronne de laurier sur une peinture du XVIIIème siècle ou sur une pièce de monnaie ou un vase antique se déchiffrent, simplement,  comme l’évidence d’une allusion à Apollon, ou même à Delphes voire à la poésie, deux domaines réputés d’Apollon par excellence. Chacun s’imagine connaître l’importance de cet attribut d’Apollon et son origine. Cependant comment ce  végétal utile par exemple comme épice culinaire a-t-il reçu un autre statut jusqu’à avoir une signification profonde d’ordre affectif ou symbolique pour la collectivité, puis participer au sacré  dans le cadre rituel et religieux de l’Apollon de Delphes ?

Lors de la première session, nous avons observé cette promotion, cette progression à partir des premières traces concernant le laurier ( textes, dessins, sculptures ) pour le voir prendre sa place dans le sanctuaire pythien de Delphes. Le panorama ainsi dressé s’était arrêté vers les Vème et  IVème siècles av. J.-C. 
Cette seconde session montrera  la  place importante ( et religieuse ? ) des auteurs de théâtre installant a posteriori le laurier dans les récits fondateurs de Delphes, et le rôle politique et social des artistes utilisant le laurier pour favoriser certaines idées. Nous irons probablement jusqu’à l’époque romaine comprise où Ovide donna une si grande célébrité au mythe de Daphné en le déplaçant pour le relier  au célèbre Apollon de Delphes : si nous avons le temps nous pourrons étudier comment se constitua ce mythe, bien longtemps auparavant, en Argolide. 

Ce recul temporel permet de  comprendre comment  un objet peut être enrichi et parfois sacralisé : nous aurons mené en quelque sorte une exploration anthropologique qui, en redonnant au laurier son histoire complexe, permet de mieux prendre conscience du travail de l’Homme sur son environnement : une question bien contemporaine ! 
Cette deuxième session enseigne également à  vérifier comment nous utilisons les informations antiques que nous avons… : lutter contre les simplifications culturelles abusives, savoir reconnaître les lacunes et nos ignorances, ne pas démissionner devant les nuances de l’Homme à respecter : autres enjeux cruciaux

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INFORMATIONS PRATIQUES :

C’est gratuit et organisé par l’Université Populaire de Poissy..

Il suffit de s’inscrire à l’avance sur le site à l’onglet inscriptions : donnez votre nom et adresse mail ( ne vous occupez pas du code demandé) et en dessous dans la partie Text , écrivez le jour et le nom ou le titre de la conférence. Ainsi ils connaissent  le mail de la personne et lui envoient  le lien d’accès à la conférence qu’elle souhaite. 

https://unipop-poissy.fr/inscriptions/

Si la personne souhaite par la suite adhérer à l’université, il lui faut remplir le bulletin d’adhésion qui se trouve sur le site à l’onglet Adhésions où les modalités sont expliquées. Mais on peut tester 1 ou 2 conférences sans adhérer.

https://unipop-poissy.fr/modalites-dadhesion/

« La fabrication de l’Antiquité par les Anciens / objets et lieux sacrés : réalités et imaginaires », séance le 3 mars 2021 à 16h, par Marguerite Champeaux-Rousselot (Séminaire Patrimoine Littérature Histoire)

Pour la prochaine séance EN LIGNE du séminaire CRATA-ERASME « La fabrication de l’Antiquité par les Anciens / objets et lieux sacrés : réalités et imaginaires », j’aborderai le mercredi 3 mars 2021 à 16h : « Omphalos : d’un sens banal à un objet consacrant ou consacré (des premiers écrits grecs à l’époque classique) ».

En raison de la situation sanitaire, la séance aura lieu en ligne. Pour obtenir le lien de connexion, vous pouvez écrire à : francois.ripoll@univ-tlse2.fr

Laboratoire Patrimoine Littérature Histoire (PLH / EA 4601) : Séminaire commun des équipes PLH-CRATA / PLH-ERASME 2020-2021.

Ce séminaire réunit historiens et littéraires, chercheurs et jeunes chercheurs, Toulousains et extérieurs.

Université Toulouse - Jean Jaurès
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2020-2025  Projet CRATA quinquennal 2020-2025

La fabrication de l’Antiquité par les Anciens « Objets et lieux sacrés : réalités et imaginaires »

Mercredi 16h – 18h, semestre 2, Maison de la Recherche (en raison de la situation sanitaire, la séance aura lieu en ligne)

3 février : Élodie Guillon (PLH-ERASME) « Le buste de Tanit à Ibiza : un objet symbole d’une identité ébuzitaine actuelle »

10 février : Laurent Bricault (PLH-ERASME) « Le Mithraeum, réalités et perception de l’Antiquité à nos jours »

17 février : Adeline Grand-Clément (PLH-ERASME) « Les bruissements de l’oracle : retour sur le « gong » de Dodone »

3 mars: Marguerite Champeaux-Rousselot (PLH-CRATA) « Omphalos : d’un sens banal à un objet consacrant ou consacré (des premiers écrits grecs à l’époque classique) »

10 mars : Thibaud Lanfranchi (PLH-ERASME) « Sagmina, herbe sacrée des Romains »

17 mars : Vilma Losyte (PLH-ERASME): « Jeux et jouets dans les sanctuaires du monde grec »

24 mars : Arnaud Saura-Ziegelmeyer (PLH-ERASME): « Identités sonores réelles et fantasmées dans l’Antiquité: à chacun sa percussion ? »

31 mars : Bénédicte Chachuat (PLH-CRATA) « La Thessalie comme sanctuaire infernal : la perversion de l’espace sacré dans la Pharsale de Lucain »

7 avril :  François Ripoll (PLH-CRATA) « L’espace sacré de Rome au chant VIII de l’Énéide : des « lieux de mémoire » au paysage allégorique »

14 avril : Hélène Frangoulis (PLH-CRATA) « L’Éthiopie : lieu sacré ou maudit ? Entre réalité et imaginaire chez Héliodore »

21 avril : Patrick Robiano (PLH-CRATA) « La représentation de Delphes dans les Ethiopiques d’Héliodore »

Contacts : François Ripoll (francois.ripoll@univ-tlse2.fr) ou Anne-Hélène Klinger-Dollé (dolle@univ-tlse2.fr)

Liens vers des Musées en Grèce

Bonnes visites..confinées peut-être !

Musée archéologique national : www.namuseum.gr

Musée archéologique de Thessalonique : www.amth.gr  ( anglais possible )

Musée chrétien et byzantin d’Athènes. www.mbp.gr (anglais possible )

Musée archéologique d’Héraklion  : https://heraklionmuseum.gr/?page_id=1724&lang=en (anglais possible)

Musée de l’Acropole : www.theacropolismuseum.gr ( anglais et même ..français ! )

Musée Benaki : www.benaki.org

Fondation Goulandris   : www.goulandris.gr

Pinacothèque Nationale : www.nationalgallery.gr

Apollon, quels mythes !… Mais au fait, les Grecs croyaient-ils à la mythologie grecque ? par Marguerite Champeaux-Rousselot

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